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1ère partie : Recherches historiques

Le Quartier latin de Libin – Jean-Claude Lebrun

Pour animer les Journées du Patrimoine de septembre 2006, le Cercle d’Histoire et de Traditions de

Libin avait réalisé une importante exposition présentant l’histoire du Quartier latin. Véritable trait

d’union entre les deux Libin, cet espace a accueilli progressivement des bâtiments publics : église,

presbytère, école, gendarmerie, maison communale, cimetière, etc. Certains ont disparu ; d’autres les

ont remplacés. Tous les renseignements recueillis sur ce lieu et présentés lors de cette exposition

méritaient d’être rassemblés dans une revue, car ils sont porteurs de l’histoire d’une partie importante

du patrimoine de ce village.

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L’abbé Joseph Martin, de Redu, curé de village et…. Apologiste – Jean-Claude Lebrun

En offrant au Cercle d’Histoire et de Traditions de Libin un petit ouvrage rédigé par le curé Joseph Martin, l’abbé Remi Delaite nous a permis de découvrir une facette inconnue de ce curé au caractère bien trempé qui administra la paroisse de Redu de 1896 à 1910. Dans son ouvrage consacré à Redu, Noël Anselot avait présenté plusieurs écrits de ce prêtre… à la plume facile. Le tout nous permet de cerner le personnage mais aussi de mieux appréhender la vie à Redu à cette époque.

 

2ème partie : Périodes troublées par les guerres

1918-2008 – De Maurice Vernet au mémorial « La Mélancolie » ou les liens d’amitié entre Montauban et Libin – Jean-Claude Lebrun

Nonante ans après l’Armistice de 1918, alors que les derniers poilus ont disparu, la déflagration de la Grande Guerre qui a causé dix millions de morts ne cesse de remonter à la surface, particulièrement par la publication de témoignages, journaux ou lettres de soldats. Le C.H.T.L. souhaite se joindre à cette démarche et raconter comment un soldat français, poète à ses heures, a contribué à tisser des liens d’amitié, à travers le temps, entre la France et la Belgique. Un destin tragique, une correspondance, des rencontres amicales, l’érection d’un mémorial à Anloy, voilà le fil conducteur de cette histoire singulière inscrite dans celle de la guerre 1914-1918.

 

3ème partie : Quelques tranches de vie du passé

Les Ponsart, Romponsart, Dubois et Mathieu. Trois siècles d’histoire autour d’une famille de Villance – Colette Van Maele-Mathieu

Se transmettre des archives familiales pendant près de trois siècles est plutôt rare en milieu rural. Les Mathieu ont conservé un livre de comptes dont la lecture permet de dessiner le trajet de cette famille mais aussi d’apporter maints détails historiques sur la vie des villages de Villance et de Libin. Évocation de la vie campagnarde sous l’Ancien Régime, pendant les périodes française et hollandaise puis enfin sous l’administration propre de la Belgique, mélange d’anecdotes et de généalogies, ce récit est un retour aux sources pour toute une famille singulière qui a participé de manière très active à la vie publique locale.

 

La vie au quotidien dans les dépendances du château de Roumont entre les deux guerres – Jean-Christophe et Régine Coppée

Dans le cadre des Journées du Patrimoine 2008, une exposition fort bien documentée a présenté la vie dans les dépendances du château de Roumont (Ochamps) au temps d’Évence III, « bâtisseur » du domaine appartenant à la famille Coppée. Pour plonger dans cette tranche d’histoire, les organisateurs ont consulté les archives familiales et recueilli d’intéressants témoignages auprès d’anciens membres du personnel ou de leurs descendants et ce, avec la participation active de Claudine Mahin, présidente du C.L.I.C.S. De nombreux visiteurs de l’exposition se sont remémoré avec émotion le temps passé. Cette manifestation méritait un prolongement écrit.

 

Aperçu historique de la société des chasses de Libin de 1860 à 1884 – Jean-Claude Lebrun

Un petit fascicule imprimé à Namur reprend le discours prononcé par le président de la Société des Chasses de Libin lors de sa dernière assemblée générale en 1884. L’auteur, le successeur d’Arthur Warocqué, ne donne pas son identité mais retrace un historique assez détaillé de l’évolution de la chasse pendant les vingt-cinq années précédentes. Dans un style caractéristique de son époque, où se mêlent lyrisme et informations, le dernier président de cette société nous conte par le détail comment une gestion avisée a permis le repeuplement de cerfs.

 

Un siècle de gendarmerie à Libin – Marie-Thérèse Pipeaux

Le 1er janvier 2001, la gendarmerie de Libin a cessé d’exister légalement pour se fondre dans une nouvelle police unifiée, répartie en deux niveaux : la police fédérale et la police locale. Implantée depuis 1901, celle de Libin disparaissait, à quelques encablures de son centième anniversaire, au profit de la zone de police Semois-Lesse. Cette vieille dame mérite une rétrospective avant de la ranger dans l’album de souvenirs !

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